• A la dernière page du conte de fée
    C'est une tragédie qui va recommencer
    Puisque j'ai perdu le cœur de celui que j'aimais
    Et des vagues de pleurs me submergent a jamais

    Car tout amour n'est qu'un rêve, insensé, éphémère
    Château de sable, fragile, englouti par la mer
    Et toi tu est loin, plus loin, si loin déjà
    Soudain c'est comme si je n'existais pas

    Mais jamais je n'ai pu oublier
    Cette mélodie d'amour que tu aimais chanter
    2eme partie :

    Tu es aveugle devant la verité
    Et tout tes doutes te troublent la pensée
    Tu t'invente une réalité
    pour un amour dont tu as rêvé

    (2 phrases dont je ne vois pas ce qu'elle dit a cause de hanon)


    Quand j'ai écouté, désespérée
    Les vagues rugirent et se déchirer
    Dans mon silence j'ai su que peut-être
    J'étais prête a renaitre
    Et par la chaleur et la lumière
    De ce grand soleil qui nous éclaire
    Dans la mer profonde, je plongerais
    L'espérance vas me guider

    lorsqu'enfin viendrons sonner
    Toutes les cloches de la félicité
    Les Sept Mers verrons briller en ce beau jour
    Le miracle de l'amour
    Et je pourrais retrouver
    Sans soucis
    Enfin celui
    Que j'aime par-dessus tout
    Et avec tendresse je lui ferais un baiser doux

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